Sur un air de Duke Ellington, Colin entend Chloé fremir entre ses bras. C´était ainsi qu´ils s´étaient connus, chez Isis, les deux chantaient Chloé et tous deux rencontrèrent ses regards quand la musique le leur indiquait. L´écume des jours, les éfleuves qui rencontrent la mer. Entre la mer inquiète et misterieuse, et les amoureux, une épaisse mousse blanche forme une barrière composée de rêves et de realité. La mer garde mistérieusement les secrets de la vie, tandis que les jeunes fleuves offrent les secrets des plaisirs...
Peu a peu, la mousse les écare du présent et du futur, ils se submergent dans le passé, ou les souvenirs immergés un jour, revienent, d´un moment à l´autre jouer a nouveaux dans les courrants.
Mais la mer est sage, elle connait les joies et pènes des éfleuves; elle les console lentement, laissant passer un petit courrant frais, mélangé avec du Duke Ellington d´un coté a l´autre.
Voilà donc, qu´aujourd´hui, Chloé posait sa tête sur les épaules de son bien aimé, elle pleurait de joie....c´était Ellington, encore une fois.
5 comentarios:
No es cierto.
y a ti qn te pregunto que juzgaras??
fois- gras
jajaja yo lo vi, el comentario. dado que no visito mi propio blog desde hace harto rato
Querida Chloe:
Tu pregunta es improcedente, por lo que no puedo contestarla.
Qué agresiva.
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